copWYLD(autoprodotto) Dichiarano che la musica dei Wyld non va ascoltata, bensì vissuta. Specialmente dal vivo. Impossibile dar loroi torto! Si sono formati recentemente, nel 2011, ma solo dal 2012 si sono stabilizzati. Sono Francesi, di Parigi…e di questa città respirano la libertà mentale, quel feeling rilassato ma estremamente intenso. Danno libero sfogo alle loro influenze, ai loro gusti e mettono in piedi un corto ma potente EP che vuole unire, riuscendoci, hard rock, stoner ed un pizzico di alternativo. Sono solo quattro le tracce (tre se contiamo che l’ultima è un outro strumentale), ma fin dalla opener “Venomous Poison”, viene trasmetta follia, energia scatenata, un perfetto cocktail per live show che conducono all’euforia, all’eccitazione, allo sballo. La opener ha un main riff ben fatto, introduce qualche idea vagamente anni 70s, e mette in mostra l’ottima voce del singer, non estrema, non ricercata, ma perfetta per questo sound. “Just Another Lie” è più pesante, e qui emerge l’influenza Black Label Society, tra l’altro dichiarata. Il pezzo ha un riff semplice, ma capace di far saltare, con un ritornello che per certi versi ricorda i Faith No More di un tempo. La title track ha una introduzione tossica che perfettamente si adatta al riff sconvolto che riesce anche ad accarezzare una sensazione derivante dai Motorhead. E’ un buon inizio. I Wyld hanno personalità, non fanno cose ovvie o fotocopiate. Hanno gusto, energia da vendere. Ora però serve assolutamente un full length… e per una assurda ragione il loro outro un po’ southern, un po’ decadente sembra essere l’intro perfetto per almeno quarantacinque minuti di rock esplosivo.

(Luca Zakk) Voto: 6,5/10

Traduction fournie par le groupe:

Wyld affirme que leur musique ne doit pas être écoutée, mais être vécue. Particulièrement en live. Impossible de leur donner tort ! Récemment formé en 2011, le line-up s’est stabilisé depuis 2012 seulement. Ils sont Français, de Paris et ils respirent la liberté spirituelle et la sensation relaxée mais intense de la ville. Ils donnent libre cours à leurs influences et leurs goûts et ont mis en place un EP court mais puissant qui réussit à mélanger hard rock, stoner et alternatif. Il y a seulement quatre pistes (trois si vous comptez que la dernière est une outro instrumentale) mais dès l’ouverture, “Venomous Poison” délivre un sentiment de folie, une libération d’énergie, un cocktail parfait pour le live qui conduit à provoquer euphorie et excitation. Le premier titre a un riff principal bien fait et introduit une idée vaguement 70’s et met en valeur l’excellente voix du chanteur, ni extrême ni sophistiquée, mais parfaite pour ce son. “Just Another Lie” est plus lourde, et ici émerge l’influence de Black Label Society, clairement assumée au demeurant. La piste possède un riff simple, mais capable de faire sauter, avec un refrain qui rappelle à certains égards Faith No More. Le titre éponyme s’introduit de façon toxique, ce qui convient parfaitement à ce riff renversant, celui-ci parvenant également à s’approcher d’une sensation musicale pas si éloignée de Motörhead. C’est un bon début. Wyld a de la personnalité et ne copie pas d’autres formations. Ils ont de bons goûts et de l’énergie à revendre. Mais maintenant, il faut absolument un album… et pour une raison qui m’échappe, “Crossroads”, leur outro quelque peu sudiste et décadente pourrait bien être l’introduction parfaite pour au moins quarante minutes d’un rock explosif.